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L’odyssée marine et musicale d’un docker solitaire

Récit musical – Tout public dès 8ans
Durée : 55 min

Témoin d’une expérience malheureuse pour les poissons, Michel, docker taiseux et inventif, a l’idée de leur signaler les dangers dans les ports : mais comment communiquer ? Sur scène, après quelques expérimentations, il va concevoir des instruments atypiques : les cartes-cloches plates, gravées des dangers dans les ports. À force de jeux, vibrations, percussions et résonances, il espère pouvoir transmettre un message d’alerte, un signal subaquatique. Les cloches, élément fondamental du spectacle, résonnent et entrent en vibration… Michel « se jette à l’eau », et dans son drôle de bateau, à la dérive, le périple maritime commence. Pour nourrir cette fable intensément sonore, à la croisée des genres, Hughes Germain a sollicité l’autrice Karin Serres pour mettre des mots tout autour et écrire cette fiction, et confié la mise en scène à Guillaume Servely. Une fresque sonore autour de la relation intime entre les espèces du monde vivant et l’attention qu’on peut se porter les uns aux autres pour «s’entendre» en harmonie.

Tout se passe dans une étrange bibliothèque éclairée d’une douce lumière. Soudain, sur les rayons de la bibliothèque, des images s’animent, la musique naît… et l’histoire commence :
«Une nuit, alors qu’elle enfilait sa chemise de nuit, Mine entendit un petit bruit. C’était un petit bruit de rien du tout. Mais lorsque sa tête ressortit de sa chemise, elle n’était plus dans sa chambre. Elle était dans un pays qu’elle ne connaissait pas et qui était vide, blanc et plat…».
Rien ne va plus, toutes les histoires du monde se sont arrêtées et sont en train de s’effacer.
La petite Mine et son ami l’Ecoute-aux-portes, vont tenter de percer le mystère et d’arrêter la grande disparition…..
Une enquête digne d’une grande épopée à la recherche de l’histoire arrêtée !
Sur scène la musique de Christofer Bjurström et François Malet, les mots de Claude Ponti servis par Catherine le Flochmoan, le film d’animation de Jean-Alain Kerdraon, vous entraînent dans l’aventure du Mystère Bigoulet.

Une programmation de la Médiathèque de Tournan en Brie, dans le cadre de la Nuit de la Lecture.

L’odyssée marine et musicale d’un docker solitaire

Récit musical – Tout public dès 8ans
Durée : 55 min

Témoin d’une expérience malheureuse pour les poissons, Michel, docker taiseux et inventif, a l’idée de leur signaler les dangers dans les ports : mais comment communiquer ? Sur scène, après quelques expérimentations, il va concevoir des instruments atypiques : les cartes-cloches plates, gravées des dangers dans les ports. À force de jeux, vibrations, percussions et résonances, il espère pouvoir transmettre un message d’alerte, un signal subaquatique. Les cloches, élément fondamental du spectacle, résonnent et entrent en vibration… Michel « se jette à l’eau », et dans son drôle de bateau, à la dérive, le périple maritime commence. Pour nourrir cette fable intensément sonore, à la croisée des genres, Hughes Germain a sollicité l’autrice Karin Serres pour mettre des mots tout autour et écrire cette fiction, et confié la mise en scène à Guillaume Servely. Une fresque sonore autour de la relation intime entre les espèces du monde vivant et l’attention qu’on peut se porter les uns aux autres pour «s’entendre» en harmonie.

Musique originale de Christofer BJURSTRÖM

Le grand Harold Lloyd à l’assaut du très-très-très haut building ! Afin d’épouser sa bien aimée, Harold décide d’aller faire fortune à la ville. Son emploi de vendeur dans un grand magasin le confronte aux remontrances de son chef et aux meutes déchaînées de clientes. A sa fiancée survenue à l’improviste, il fait croire qu’il occupe un poste directorial et décide de gravir les échelons hiérarchiques…
Quatrième des dix-huit longs métrages d’Harold Loyd, c’est la séquence de l’ascension du building qui fait de Safety last une oeuvre inoubliable et géniale. Elle occupe un tiers du métrage total. Comme dans les plus grandes séquences du cinéma burlesque (cf Keaton), le rire est en plus.

Accompagné avec énergie et malice par Christofer Bjurström au piano,

Un programme pour découvrir Léontine, Rosalie et les autres personnages féminins comiques des débuts du cinéma français. Jamais à cours de mauvais tours elles dévastent tout sur leur passage, électrisent les passants, s’envolent, font littéralement perdre la tête aux hommes, se mettent en grève ou ne suivent que leurs envies.

DUO : Catherine Le Flochmoan (voix, chant, objets sonores), Christofer Bjurström (piano, flûtes, électronique, composition)

Une musique joyeuse et débridée, utilisant toutes les ressources de la voix: bonimenter, chanter, commenter, faire diverses étrangetés….Autant de films, autant de miniatures musicales de caractères résolument variés (conte musical, mélodies malicieuses, ou épisodes chantés dans un esprit comédie musicale un peu déviée) pour un bric à brac dynamique et gentiment surréaliste.

Un programme de trois court-métrages de Charlie Chaplin, « Charlot patine » (The Rink), Charlot Policeman (Easy Street) et « L’Emigrant » (The Immigrant) et une musique épousant les mouvements et l’humeur variable de ces miniatures. Une musique mélodique, sensuelle, rythmée pour se fondre dans l’humour, les facéties et la tendresse de Chaplin. A (re)découvrir, en famille et à tout âge…

Agnès Vesterman, violoncelle
Christofer Bjurström, piano, composition

L’odyssée marine et musicale d’un docker solitaire

Récit musical – Tout public dès 8ans
Durée : 55 min

Témoin d’une expérience malheureuse pour les poissons, Michel, docker taiseux et inventif, a l’idée de leur signaler les dangers dans les ports : mais comment communiquer ? Sur scène, après quelques expérimentations, il va concevoir des instruments atypiques : les cartes-cloches plates, gravées des dangers dans les ports. À force de jeux, vibrations, percussions et résonances, il espère pouvoir transmettre un message d’alerte, un signal subaquatique. Les cloches, élément fondamental du spectacle, résonnent et entrent en vibration… Michel « se jette à l’eau », et dans son drôle de bateau, à la dérive, le périple maritime commence. Pour nourrir cette fable intensément sonore, à la croisée des genres, Hughes Germain a sollicité l’autrice Karin Serres pour mettre des mots tout autour et écrire cette fiction, et confié la mise en scène à Guillaume Servely. Une fresque sonore autour de la relation intime entre les espèces du monde vivant et l’attention qu’on peut se porter les uns aux autres pour «s’entendre» en harmonie.